Fabrication bunker
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Fabrication bunker
Et me voilou pour un nouveau post. Suite à un récent message sur Airsoft Contact, j'expose ici la construction d'un bunker 100% écolo et économique.
Il s'agit donc de farbiquer un bunker à partir de la méthode efficacement testée par nous même à savoir le clayonnage. En effet, on peut élever 3 murs perpendiculairement d'une hauteur de 120 cm puis élever parallélement à ces 3 premiers murs 3 nouveaux de même hauteur et de laisser un espace entre de 30 cm. Puis remplir de remblai mélangé avec des grosses pierres pour une meilleure rigidité l'espace ainsi crée.
Pour créer un toit, il suffirait de poser dans les dernières rangées de branchages des tronc de la taille des poteaux et de laisser dépasser leurs extrémités sur l'extérieur à la manière des maisons mexicaines puis de continuer le tressage pour maintenir leur position, et toujours de combler l'espace. Ainsi coincé dans l'enchevretrement et sous 30 cm de remblai, ils ne bougeront pas. Suffira alors de poser par dessus une toile de bache ou également une claie puis recouvrir le tout de branchages avec les feuilles puis de quelques pelletés de terre.
Pour pratiquer des ouvertures dans les parois afin d'y effectuer des tirs, il suffit de ne pas poursuivre le tressage mais à l'endroit voulu y placer un poteau et obliquer de 90° le tressage de sorte que le tressage intérieur finisse à l'extérieur.
Pour les puristes ou ceux qui ont peur d'être attaqué par la seule ouverture du bunker, on peut construire un mur anti souffle. L'objectif de ce mur est d'être pare-éclats dans le cas de tirs d'artillerie ou de jet de grenades, et également de protéger les défenseurs des tirs d'armes venant dans leur dos. Mais principalement pour l'artillerie, car en effet si l'ennemi venait à venir par derrière, la raison d'être de l'ouvrage n'est plus et il doit être évacué et saboté. Attention toutefois à la fermeture des ouvrages, car une fois celui ci pris par l'adversaire et étant fermé, vous aurez le même mal que ce dernier à le prendre que vous à le reprendre (en exemple je citerai l'ouvrage de la tour Malakoff durant la campagne de Crimée qui fut fermée par les Russes et lorsqu'ils le perdirent, ne purent jamais le reprendre car les Français s'y étant accrochés, le défendirent avec d'autant plus d'efficacité, alors que partout ailleurs sur le front ils étaient rejetés des ouvrages conquis car non fermés).
On pourra également y construire un puit anti-grenade (invention japonaise de la seconde guerre) qui consiste à creuser un trou assez profond dans le sol et pas trés large (de quoi y introduire une grenade sans difficulté tout de même !) et lorsqu'une grenade tombe dans le bunker, celle ci est jetée par un courageux (!) dans ce même trou. Ainsi en explosant les éclats (ce qu'il y a de mortel dans la grenade) sont projetés et absorbés par les parois du trou tandis que le gaz s'évacue par le haut. Les défenseurs sont alors couchés pendant qu'elle explose pour éviter les éclats qui sont propulsés vers le haut du puit.
Pour économiser sur les matériaux et avoir un bunker assez bas pour ne pas être vu de suite par l'adversaire et essuyer moins de tirs car présentant une surface moindre, vous pouvez comme nous l'avons illustré creuser l'intérieur du bunker. Ainsi la terre extraite servira au remblai, de même qu'il sera plus difficile aux adversaires de s'abriter derrière l'ouvrage.
Il s'agit donc de farbiquer un bunker à partir de la méthode efficacement testée par nous même à savoir le clayonnage. En effet, on peut élever 3 murs perpendiculairement d'une hauteur de 120 cm puis élever parallélement à ces 3 premiers murs 3 nouveaux de même hauteur et de laisser un espace entre de 30 cm. Puis remplir de remblai mélangé avec des grosses pierres pour une meilleure rigidité l'espace ainsi crée.
Pour créer un toit, il suffirait de poser dans les dernières rangées de branchages des tronc de la taille des poteaux et de laisser dépasser leurs extrémités sur l'extérieur à la manière des maisons mexicaines puis de continuer le tressage pour maintenir leur position, et toujours de combler l'espace. Ainsi coincé dans l'enchevretrement et sous 30 cm de remblai, ils ne bougeront pas. Suffira alors de poser par dessus une toile de bache ou également une claie puis recouvrir le tout de branchages avec les feuilles puis de quelques pelletés de terre.
Pour pratiquer des ouvertures dans les parois afin d'y effectuer des tirs, il suffit de ne pas poursuivre le tressage mais à l'endroit voulu y placer un poteau et obliquer de 90° le tressage de sorte que le tressage intérieur finisse à l'extérieur.
Pour les puristes ou ceux qui ont peur d'être attaqué par la seule ouverture du bunker, on peut construire un mur anti souffle. L'objectif de ce mur est d'être pare-éclats dans le cas de tirs d'artillerie ou de jet de grenades, et également de protéger les défenseurs des tirs d'armes venant dans leur dos. Mais principalement pour l'artillerie, car en effet si l'ennemi venait à venir par derrière, la raison d'être de l'ouvrage n'est plus et il doit être évacué et saboté. Attention toutefois à la fermeture des ouvrages, car une fois celui ci pris par l'adversaire et étant fermé, vous aurez le même mal que ce dernier à le prendre que vous à le reprendre (en exemple je citerai l'ouvrage de la tour Malakoff durant la campagne de Crimée qui fut fermée par les Russes et lorsqu'ils le perdirent, ne purent jamais le reprendre car les Français s'y étant accrochés, le défendirent avec d'autant plus d'efficacité, alors que partout ailleurs sur le front ils étaient rejetés des ouvrages conquis car non fermés).
On pourra également y construire un puit anti-grenade (invention japonaise de la seconde guerre) qui consiste à creuser un trou assez profond dans le sol et pas trés large (de quoi y introduire une grenade sans difficulté tout de même !) et lorsqu'une grenade tombe dans le bunker, celle ci est jetée par un courageux (!) dans ce même trou. Ainsi en explosant les éclats (ce qu'il y a de mortel dans la grenade) sont projetés et absorbés par les parois du trou tandis que le gaz s'évacue par le haut. Les défenseurs sont alors couchés pendant qu'elle explose pour éviter les éclats qui sont propulsés vers le haut du puit.
Pour économiser sur les matériaux et avoir un bunker assez bas pour ne pas être vu de suite par l'adversaire et essuyer moins de tirs car présentant une surface moindre, vous pouvez comme nous l'avons illustré creuser l'intérieur du bunker. Ainsi la terre extraite servira au remblai, de même qu'il sera plus difficile aux adversaires de s'abriter derrière l'ouvrage.
kerpen- Trésorier
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